On raconte que dans les années 1600, longtemps avant l’invention de la photographie, un scientifique nommé Girolamo Fumagalli était obsédé par l’idée de reproduire des images. Il avait découvert que par le meurtre d’une personne et par la suppression de ses yeux, il était possible de reproduire sur papier la dernière image imprimée sur sa rétine. Il a baptisé cette technique « thanatography ». Aujourd’hui, le même genre d’horrible et abominable crime rituel se répète dans les murs d’une école internationale de cinéma.
L'histoire parle d'un étudiant en cinéma anglais fasciné par la mort qui tente de résoudre une série de meurtres bizarres commis à Rome. Ces meurtres ont pour point commun l'une des théories les plus étranges du cinéma : l'art perdu de la thanatographie (en latin, l'image de la mort).